Cartographie à rejouer : les troubles du comportement
Inaugurée depuis peu dans mon appartement, rue Gutenberg : une chambre où dans la nuit parisienne, mon corps et mon inconscient peuvent transiter.
Cette pièce a une fenêtre qui s’ouvre sur une généalogie de voies ferrées.
Au petit matin, la sonorité des trains qui passent me fait ouvrir l’œil.
Peu importe la destination via les coïncidences, quotidiennement je pars, banlieues ou grandes lignes.
L’essentiel, c’est le transport. Je prends le train en route. La journée commence ainsi dans une ramification d’interstices pour s’achever rue Gutenberg.
